Le 7 avril 2025, le Parlement a adopté l’extension de la parité obligatoire à toutes les communes, y compris les plus petites. Ce texte, imposé sans consultation des territoires concernés, constitue une nouvelle étape dans l’entreprise de déconstruction des libertés locales.
Ce n’est pas une loi d’équilibre, c’est une loi de contrainte. Ce n’est pas une reconnaissance du rôle des femmes, c’est une instrumentalisation idéologique au service d’un modèle abstrait, uniformisateur, profondément déconnecté du réel.
Dans les villages, l’engagement repose sur la disponibilité, la proximité, l’attachement à la terre. Y imposer des quotas, c’est briser des dynamiques humaines vivantes pour les remplacer par une grille bureaucratique inapplicable. Là où les élus se choisissent par la confiance et la compétence, l’État impose désormais le sexe comme critère premier. Le résultat est connu : moins de listes, plus de communes abandonnées, absorbées dans des intercommunalités anonymes.
Cette réforme est une arme d’ingénierie sociale. Elle nie la diversité des territoires, efface la liberté des habitants, détruit les liens organiques entre les peuples et leur terre.
Nous, Nationalistes, affirmons qu’il n’y a pas de vie politique saine sans enracinement. Nous défendons la liberté des communes, la légitimité des équipes locales à se former selon leurs équilibres naturels, et le droit des peuples à s’organiser selon leurs traditions.
Non aux quotas imposés !
Non à l’uniformisation idéologique !
Oui à la liberté locale, à l’enracinement, et au respect du réel !
Au-delà du vote, il y a l’action, rejoignez les Nationalistes !